De quelle couleur.
Ne me regardez pas si dur, moi j’utopique passionnel vous savez bien. J’étranglais de l’imaginaire quand ces murs-là n’étaient que rouge et inconscience. J’étranglais des passions comme on désire de l’intouchable, utopique palpitant. Ne me regardez pas de si haut, vous n’y êtes jamais tombés. Crédules. Mais la passion court tellement vite, mais la passion s’enfuit s’éteint, paraît-il, je n’y crois pas. Si vous saviez si vous étiez, si vous saviez je la rêve infinie, la passion. Contradiction. Diction mais travaillez l’appartenance, l’appartenance ou rien, tu m’entends. Addiction, addiction comme fondement du plus beau criminel. Splendide. Arrêtez-les. Destruction perpétuelle plus exaltation permanente. Ne m’ouvrez pas les yeux, on survit pour si peu de choses. Abattez vos cartes. Mais si la passion danse un jour si cruelle, laissez-la faire, elle n’a jamais été aussi proche du sublime.
5 Comments:
Encore un texte vibrant et poignant.
On sent la souffrance derrière ces mots mais c'est sublime.
Et puis le sublime, c'est dommage que ça soit si friable, le désordre des sentiments, les mélanges des envies contradictoires et le mur, mon silence, et ton amour, ce putain de mur, infiniment haut, maintenant, tellement trop pour nous, pour toi, on aurait voulu, tu aurais voulu et moi aussi, mais pas pareil, c'est le problème, les mots, la passion et tout ce qui s'allume, s'éteint, nous tue.
Blue Jam > Vibrant c'est Merci, vraiment.
L'Anonyme > Tu sais, le pire, c'est que je le trouve joli, ton commentaire. Mais joli on s'en fout, y'a le sublime friable et ce putain de mur. Un jour, lui aussi je le ferai brûler. Point.
Bruler ? Le mur ?
Ca brule pas trop les murs, mais merci.
Tu es drôle, de te la jouer rationnel quand ça t'arrange. Mais enfin "j'ai entendu de la lumière", si on va par là, y'a des trucs à redire. Mais merci.
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