Et vous est-ce que vous avez le temps.
Les couleurs incarcérées au fond du gobelet en plastique à moitié fendu, non les couleurs toutes mélangées n'ont même pas donné de marron, une pause. Les couleurs qui ne se distinguent qu'au fond des yeux cernés très appliqués, c'est un spectacle à temps partiel dont on murmurerait le titre. Les manipulations fictives de nos doigts colorés priment sur tout le reste, sur tout ce qui nous hante, si proche. C'est une prison peinturlurée face à des sourires miniatures, elle n'a rien de méticuleux, la coloriste, elle cherche. Je passe. L'histoire tuera les nerfs étranglera les doutes sur scène. L'histoire regardera filer le temps comme si, déjà, plus rien d'essentiel n'était à venir. Nous n'avons même plus de doigts propres à croiser, c'est la peinture, ça, vous savez. La peinture et, les doigts tâchés détourneront les idéaux, qu'ils nous criaient.
4 Comments:
A te peindre la figure comme ça, tu vas te fondre dans les murs. Fais gaffe à ne pas te coincer les doigts dans les murs.
Je t'écris ça juste par ce que cet article m'a foutu le cafard. Ca va, ça vient. Sed scripta manent.
"à ne pas te coincer les doigts dans la prise" (Et voilà, j'ai foutu mon effet par terre !)
De prendre un café au port? :)
Ou dans ca bar de St Jean tous les trois avec Eph, aussi.
("Joli" texte, comme toujours Ju !)
le locataire > j'aime bien, ton commentaire. Il me plaît bien, il concorde.
Lau > Quand tu veux, jolie ! (dire que montpellier s'offrait presque à moi ^^)
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