vendredi, novembre 28, 2008

Lignes.

C’est une histoire géométrique cette histoire-là l’homme suit son cours triangulaire son cours l’homme n’est pas une rivière c’est un angle. L’histoire écrit une droite une ligne direz-vous c’est le chemin de l’homme qui suit ce qu’il faut suivre en forme géométrique et destructible malgré tout, derrière les petits doigts qui tracent rigoureusement la vie de l’homme celui-là.

C’était une histoire poétique celle des compas qu’ils s’étaient plantés dans les yeux le rythme prime sur l'ardent, on suit leur cours c’est circulaire ils ne sont pas décalés ils sont harmonieux mon amour, les compas dans les yeux les crises autour du cou.

L'histoire se démarque et s'enroule à l'attention de ceux qui ne savent pas regarder leurs déboires quand ils marchent, boire et déboire et c'est l'histoire des magnifiques elle se remarque et se déroule et c'est bien vrai, elle ne s'enroule plus jamais ce n'est pas un serpent c'est une liberté statique.

C'était une histoire acharnée lorsqu'on agrafait nos couleurs sur des mètres de renaissances froides l'homme suit son cours triangulaire ce n'est pas une rivière c'est un angle, l'histoire acharnée de ceux qui ne parlaient qu'en syllabes mon amour et dans syllabes ils disaient cils, un peu beaucoup passionnément c'était une histoire poétique personne ne s'acharne jamais on se décolore au plus vite on blanchit.

C'est une histoire géométrique comme tout blanchit d'extase et d'attraction, comme tout blanchit comme les couleurs montantes se déroulent alors c'est une liberté, cette histoire-là se débat dans les angles la pointe du compas redessinera les pupilles et ce n'est pas du décalage c'est de l'harmonie, mon amour.

2 Comments:

Blogger Gregory Sey said...

On en ferait presque un régime pour garder la ligne...

novembre 29, 2008 9:18 AM  
Anonymous Anonyme said...

Le commentaire au dessus est rigolo.
Celui là sera totalement inutile ; en fait, je ne sais pas comment te le dire, mais je pense que ça se passera bien si tu lis souvent ton blog ; j'ai perdu mon téléphone Ju, encore, un peu, alors voilà ; arrête de me crier en ton fort intérieur !

décembre 06, 2008 12:27 PM  

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