lundi, juillet 19, 2010

et puis tout a cessé de briller un soir où la température était supérieure à trente-cinq degrés, un soir où, enfin tu sais, j'ai regardé par la fenêtre et je n'ai plus rien vu, alors je suis restée assise à côté de mes regrets et je me suis dit qu'on allait passer un bout de temps ensemble, eux et moi.

6 Comments:

Blogger Mélie said...

juste aujourd'hui, je me disais que je ne t'avais pas lue depuis des siècles et que - ça me manquait.

juillet 19, 2010 6:52 PM  
Blogger Douglas Majnun said...

Chouette ! :)

juillet 19, 2010 7:53 PM  
Anonymous Ju said...

En plus c'est une note super bien :$

juillet 21, 2010 2:28 PM  
Blogger Loup, y es-tu ? said...

Oh, il y a meilleure compagnie que des regrets.
Mais ça reste très beau.
En espérant un retour définitif =)

juillet 24, 2010 1:32 PM  
Anonymous V. said...

Admiration pour ton texte comme toujours, et puis un vers d'Aragon, pour rejoindre ce que tu écris mieux que je ne saurais le faire: "Il advint qu'un beau soir l'univers se brisa", que resta-t-il ?

août 09, 2010 12:14 AM  
Blogger MQ said...

Mélie. Je crois que j'ai un mail à t'écrire depuis plus d'un an. Je te lis, en tout cas. Et merci..

V > J'aime beaucoup ce vers, en fait. Il m'a toujours plu. Et merci beaucoup.. :)

Et merci les autres, aussi ! Retour définitif je vais voir, apparitions ponctuelles pourquoi pas. Je reste par là en tout cas, c'est sûr.

septembre 02, 2010 6:07 PM  

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