dimanche, novembre 21, 2010

Par pure paresse, par pure mélancolie.

Il y a les filles sublimes par milliers il y a les notes de musique qui enveloppent ma tête alourdie qui dissimulent l’atmosphère le, monde et les filles sublimes par milliers. Il y a les orchestres et les voix ta voix sa voix les voix il y a tout ce que je ne sais pas, il y a je suis si loin si près du vide et des notes de musique, les boucles musicales les boucles leurs cheveux puis par milliers les frissons il y a je ne suis pas là et les couleurs en centimètres il n’y a pas d’heure pour être si loin si vide et si dissimulée sous les couleurs les centimètres et l’abordable. Il y a la mer et l’obsession, il y a les lettres qu’ils n’écriront pas et le papier jauni qui prendra l’eau, il y a la mer la mer et combien de couleurs combien de notes de musique avant de lever l’ancre au milieu de la nuit, il y a. Les boucles, les voix, l'obsession.

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

J'aurais mis Cimetière au deuxième centimètre, en fait, j'l'ai lu comme ça, mais si tu savais, des milliers.

novembre 24, 2010 11:44 PM  

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