Autour
Seules subsistent mes aspirations fantasques et désordonnées, mes aspirations à tout ce qui ne se voit pas et mes cris qui se cassent à la frontière de toutes ces vies emmêlées.
Seules subsistent mes illusions mortes puis sans cesse ressuscitées, mes illusions fatiguées déshabillées meurtries et le centre du monde ne s'endormira pas sur moi.
Seules subsistent mes illusions mortes puis sans cesse ressuscitées, mes illusions fatiguées déshabillées meurtries et le centre du monde ne s'endormira pas sur moi.
3 Comments:
Cela sonne toujours aussi juste.
Et cette fois, c'est le printemps.
le printemps m'effraie tellement
Et je suis sûr que tu impressionnes le printemps. Un peu.
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