L'air.
Alors bien sûr tes lèvres ne cessent de me hanter, bien sûr ton corps m'obsède et l'odeur de ta peau continuellement me poursuit, mais si l'orchestre ne s'arrête pas de jouer, si les archets les baguettes et les pulsations résonnent encore en plein cœur de mes nuits, si la musique est assez forte pour m'envahir complètement peut-être parviendrai-je à respirer quelques instants, quelques instants au moins.
6 Comments:
Les prémices du printemps assurément.
Quelques instants seulement mais déjà le début du printemps.
Et ne t'en fais pas pour ici. Tu sauras aussi dire le bonheur.
Mais j'ai comme l'idée que nous n'y sommes pas tout à fait encore...
Non, pas vraiment, en effet. C'est février, ça.
Tu écris quelque part, toi ?
Je viens, par hasard. Mais on revient toujours, n'est-ce pas? j'ai perdu l'écriture, je ne sais plus. Mais toi. J'ai l'impression de lire quelque chose entre Christian Bobin mais en moins "doucereux" peut-être et Baricco que j'aime du fond du coeur. Les livres, parfois, m'ont sauvé. Je suis sûre qu'un livre de toi sauverait quelque chose.
Il faut que je lise Christian Bobin, vraiment. Et pour Baricco, oh, tu pouvais difficilement me faire plus sourire. Je suis contente de te voir par ici, tu sais. Quant aux mots Jessica ne t'inquiète pas trop, eux aussi finissent toujours par revenir.
Tout ça, ces notes, c'est incroyable un peu.
J'ai du mal à en dire plus.
Pourquoi, incroyable ?
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