Que d'y croire toujours.
il y a cette immense mélancolie qui dégouline le long de mon corps égaré
je ne pense plus qu'à cet automne-là, à l'idéal et à
mes lourdes défaites
Je ne sais pas vernir mon cœur ni l'empêcher de se soumettre,
les mots les plus précieux que tu m'aies dits ne se dilueront pas dans cette immense mélancolie qui coule le long de mon corps épuisé
il n'y a pas d'automne perpétuel il y a mes lourdes défaites,
indéfiniment.
je ne pense plus qu'à cet automne-là, à l'idéal et à
mes lourdes défaites
Je ne sais pas vernir mon cœur ni l'empêcher de se soumettre,
les mots les plus précieux que tu m'aies dits ne se dilueront pas dans cette immense mélancolie qui coule le long de mon corps épuisé
il n'y a pas d'automne perpétuel il y a mes lourdes défaites,
indéfiniment.
1 Comments:
Un bonjour joyeux en passant par là...
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