J’ai beaucoup entendu parler des nœuds de l’inexactitude et j’ai souvent suivi les sons de quoi vous démêlez-vous au juste voulais-je leur crier après avoir beaucoup trop entendu craquer les contorsions de l’inapproprié, ce jour-là disiez-vous je me promenais le long d’une rive enflammée puis disiez-vous soudain j’écrasais dans mes doigts blancs les cendres de l’absence, me disiez-vous enveloppé de nonchalance et d’attendu seulement j’ai beaucoup entendu parler de tous ces nœuds mais jamais de leurs cendres j’ai beaucoup marché sur les braises et voyez-vous je m’en consume encore avais-je répondu, c’était vrai et je suis chaque fois plus fatiguée d’attendre l’automne entourée de ce rien.